Argentine - le sud

ARGENTINE

L’Argentine… son nom, vient du latin Argentum signifiant « argent ».

Avec une densité de 14 habitants/km2, l’Argentine a une population de 40 millions d'habitants et la majorité est d’origine européenne. La religion nationale est le catholicisme. L’Argentine est le pays d’Amérique latine où la culture européenne est la plus affirmée. C’est aussi l'un des pays les plus développés du continent latino-américain. Après le Brésil et le Mexique, le pays est la troisième puissance économique d'Amérique latine.

Partageant ses frontières avec le Chili à l’ouest, la Bolivie au nord-ouest, le Paraguay au nord, le Brésil et l’Uruguay au nord-est et l’océan Atlantique à l'est et à l'extrême sud, le pays s’étend en longueur. Dans sa longueur, l’Argentine atteint 3 700 km, donc il y a une grande variété climatique. Dans le Nord, il règne un climat subtropical, tandis que dans le Sud le climat est subarctique : les gens peuvent mourir de chaleur dans les zones désertiques des Andes du Nord-Ouest quand, pendant ce temps, d’autres grelottent en Terre de Feu au Sud. Les Argentins disent que leur pays a les pieds en Antarctique et la tête dans les Tropiques.

En Argentine, il y a 5 grandes régions naturelles : La Patagonie qui est la plus vaste région du pays avec 30 % du territoire, mais qui est également la moins peuplée (moins d'un habitant au kilomètre carré). La Pampa, immense plaine monotone de 600 000 km², elle compte plus de 20 % du territoire, c’est le centre économique du pays. Les Andes du Nord-Ouest comprennent environ 15 % de la population. Avec de charmantes petites villes coloniales, la grandiose quebrada (vallée encaissée) de Humahuaca située à plus de 2 000 m d'altitude, des champs de cactus, des lamas, des montagnes aux camaïeux de rouge, cette région est un véritable choc culturel ; elle marque la fin de l'Argentine européenne et des grandes plaines. Les Andes centrales constituent la région qui possède les plus hauts sommets, dont l’Aconcagua, qui culmine à 7 000 m, et aussi le plus de vignobles. Les plaines du Nord-Est sont de vastes zones de marécages et de savanes à l'ouest. La région est humide, c’est dans cette région que se situent les spectaculaires chutes d’Iguazú.


BUENOS AIRES – 3 JOURS

Dans le centre-est du pays est située la capitale, Buenos Aires, c’est la ville la plus importante de l'Argentine. Elle est la deuxième ville la plus peuplée d’Amérique du Sud, après São Paulo au Brésil.

Après avoir passé 24 heures dans les avions et dans les aéroports, totalisant 17 heures de vol dans 3 avions différents, nous sommes enfin arrivés à Buenos Aires, complètement déboussolés. Fatigués et exténués, nous nous sommes débrouillés pour baragouiner quelques mots en espagnol afin qu’un taxi nous conduise à notre hôtel. Une fois arrivés à l’hôtel, il fallait s’arranger pour dire à la dame que nous avions une réservation pour une chambre. Avec la fatigue accumulée et le décalage horaire que nous ressentions, notre arrivée en Argentine a été un peu difficile. En plus qu’il fallait parler une nouvelle langue, ni le chauffeur de taxi, ni la dame de l’hôtel ne parlaient anglais, alors il fallait se débrouiller comme nous le pouvions en parlant en espagnol. Cependant, nous nous en sommes très bien sortis.

Franchement, il faut le dire, nous avons dormi dans un trou, un vrai taudis, le pire endroit en un an de voyage que nous avons en mémoire. L’endroit où nous avons séjourné n’était pas vraiment un hôtel, c’était plutôt un endroit où habitent des étudiants. Donc, le jour comme la nuit, il y régnait une ambiance festive avec de la musique qui jouait à tue-tête. Par contre, en se posant sur le lit, nous sommes tombés immédiatement dans un sommeil profond.

Nous avions besoin de dormir et Véro avait besoin de soigner son mollet, notre corps n’en pouvait plus. Comme nous vous en avions parlé dans le dernier message, Véro s’est blessée au mollet dans une randonnée en montagne quelques jours auparavant, en Nouvelle-Zélande. Suite à l’incident, nous sommes demeurés tranquilles pendant les deux dernières journées passées en Nouvelle-Zélande, ce qui a fait diminuer l’enflure et la douleur. Cependant, avec la course que nous avions dû faire à l’aéroport pour ne pas manquer notre avion, la douleur et l’enflure au mollet étaient revenues et c’était devenu encore plus douloureux qu’au début. En arrivant en Argentine, Véro n’était même plus capable de marcher tellement elle ressentait de la douleur. Donc, la première journée passée à Buenos Aires, Véro est restée seule dans la chambre « taudis » afin de reposer sa jambe pendant que Neil est allé visiter la ville.

Notre deuxième nuit a été un enfer ! Comme nous étions samedi, les étudiants étaient sur le party. Partout dans le bâtiment, ils dansaient, chantaient, buvaient avec la musique dans le tapis, et ce, jusqu’à 5h du matin. En conséquence, nous avons très mal dormi, mais bon, ils ont bien le droit de faire le party.

Le lendemain, nous sommes allés à l’hôpital de Buenos Aires pour faire examiner le mollet de Véro. La dame de l’hôtel a été très gentille avec nous, elle nous a dit que nous faisions maintenant partie de la « familia », qu’elle était à notre disposition 24h sur 24h et qu’elle ferait tout pour nous aider. Elle voulait que nous l’appelions de l’hôpital pour ne pas qu’elle s’inquiète, elle disait qu’elle avait le cœur tout à l’envers. Elle a été très chaleureuse et accueillante.

Nous avons été capables d’informer la dame de la réception de notre problème et par chance, elle nous a fait rencontrer un médecin qui parlait un peu anglais. Le médecin a fait passer une échographie à Véro afin d’examiner son muscle et aussi pour vérifier si elle ne faisait pas une thrombophlébite. Le médecin a dit que ça arrivait fréquemment que les gens qui se blessent de la sorte fassent une thrombophlébite par la suite. Lorsque Véro a entendu le mot, thrombophlébite, elle a commencé à avoir peur, pour en avoir déjà fait une, elle savait les conséquences ; des traitements pendant des mois et ça voulait dire de revenir au Québec immédiatement.

Les techniciens lui ont fait très mal en faisant l’échographie, ils ne parlaient que l’espagnol et Véro n’arrêtait pas de leur dire « Estoy herida en la pierna, dolor aqui, dolor aqui » en désignant l’endroit exact de la douleur. Ils nous trimbalaient d’une pièce à l’autre, nous ne comprenions plus rien, nous ne savions pas ce qui allait arriver. Dans l’attente des résultats de l’échographie, nous angoissions terriblement et nous ne voulions pas imaginer le pire.

Après une heure d’attente, un médecin, qui ne parlait pas très bien anglais, est arrivé et nous a appris que Véro avait une petite déchirure dans un muscle du mollet. Malheureusement, ça risque de prendre du temps avant une guérison complète, mais nous étions extrêmement heureux que ce ne soit pas une thrombophlébite, ce qui aurait été fatal pour le reste du voyage et surtout très dangereux pour la santé de Véro. Etrangement, devant le médecin, nous étions joyeux par cette nouvelle.

Le médecin était fasciné par notre voyage, il nous a posé plein de questions pendant une bonne demi-heure. Nous étions quand même à l’urgence, mais il prenait son temps pour s’informer de notre itinéraire, des coûts et il trouvait notre projet génial. C’est nous qui avons dû mettre fin à la discussion, nous avons quitté le bureau du médecin avec des anti-inflammatoires et des factures salées. Par chance nous avons une bonne assurance qui remboursera la totalité des factures. En espérant que ça reviendra rapidement et que Véro pourra faire des randonnées en montagne rapidement. Nous nous dirigeons vers la Patagonie où se trouve la Cordillère des Andes et elle veut absolument aller en montagne.

À notre retour à l’hôtel, des étudiants nous attendaient pour nous demander comment j’allais et pour s’informer de notre situation. Ils m’ont apporté à ma chambre des cubes de glace pour mettre sur ma jambe, afin de diminuer l’enflure. Tout le monde a été très gentil avec nous, même s’ils ne parlaient que l’espagnol, nous avons été capables de dialoguer un peu avec eux.

TERRE DE FEU
À l'extrême-sud du continent sud-américain se trouve la région de terre de feu « Tierra del Fuego ». C’est en fait un archipel, quasiment inhabité et encore loin d’avoir été totalement exploité. L’Antarctique au sud, l’Atlantique à l'est et le Pacifique à l'ouest, l'archipel de la Terre de Feu est séparé de la Patagonie et des Andes par le détroit de Magellan. L'archipel est divisé entre l'Argentine et le Chili. L'île la plus grande de cet archipel est la Grande Île de Terre de Feu, mesurant 48 100 km². Le Chili occupe environ les deux tiers de cette île à l’ouest et l’Argentine le tiers restant à l’est. La frontière entre les deux pays est formée par le canal Beagle.

USHUAIA – 3 JOURS

Le 7 décembre 2010, nous sommes partis du Canada pour faire notre tour du monde, après 1 an exactement, le 7 décembre 2011, nous avons pris un vol pour nous rendre au bout du monde, à Ushuaia. Assez symbolique, une drôle et belle coïncidence.

Ushuaia est la ville la plus au sud de la planète, elle est surnommée par les Argentins « el fin del mundo », la terre du bout du monde. C’est un coin de la planète très mythique. En fait, l’endroit le plus au sud de la planète est Puerto Williams sur l'île Navarino au Chili qui est légèrement plus au sud qu’Ushuaia. Par contre, l’endroit n’est pas considéré comme une ville, mais comme un village comprenant environ 2 262 habitants, c’est pourquoi le titre de la ville « el fin del mundo » revient à Ushuaia.

Ushuaia se trouve sur la rive sud de la Grande Île de Terre de Feu (du côté de l’Argentine), elle est la capitale de la Province de Terre de Feu. C’est une toute petite ville d’une superficie de 9 390 km2 où habitent environ 70 000 habitants. La ville est la porte d’entrée vers l’Antarctique et le pôle Sud, car c’est là que se trouve le port le plus proche de l’Antarctique.

La ville est entourée de montagnes, ce qui la rend très jolie. Par compte, il y de nombreux fils électriques partout et des lampadaires dans toutes les rues, approximativement à tous les 5 mètres, ce qui enlaidit un peu le paysage. Cependant, c’est très normal, car Ushuaia est la ville la plus près du pôle sud et l'hiver, de juillet à septembre, les journées sont très courtes. Nous pouvons apercevoir la lumière du jour seulement de 9h30 à 15h environ. L'été, de décembre à mars, c’est l'inverse de l'hiver, il fait jour presque toute la journée. Le jour le plus long est le 21 décembre où il fait seulement nuit de minuit à 2h du matin. Lorsque nous y étions, en décembre, le soleil se couchait environ vers 10h30 et se levait vers 4h. Cependant, la nuit ce n’était pas des nuits avec une obscurité totale, la clarté régnait toujours. C’était assez étrange !

Dans cette ville, nous sommes demeurés tranquilles pour reposer le mollet de Véronique afin qu’elle récupère bien pour pouvoir faire les nombreuses randonnées en Patagonie qui nous attendent.
Nous avons marché un peu dans la ville et nous sommes, bien entendu, allés se faire photographier avec la fameuse pancarte « El fin des mundo ».


Nous sommes partis d’Ushuaia pour se rendre à El Calafate. Comme la Terre de Feu est partagée entre l’Argentine et le Chili et qu’elle est faite en pointe, pour s’y rendre, nous avons dû traverser 2 fois les douanes. Nous avons traversé les douanes de l’Argentine au Chili, pour ensuite retraverser les douanes du Chili afin de revenir en Argentine. Donc, nous avons 4 tampons de plus dans nos passeports simplement pour se rendre d’une ville à une autre dans le même pays. Nous n’avons pas vraiment aimé ces 4 tampons supplémentaires, car nous commençons à manquer de place dans nos passeports. Nous sommes maintenant obligés de dire aux douaniers où placer les tampons dans nos passeports, pour ne pas qu’ils étampent en plein milieu d’une page vierge, ce qui ferait que nous manquerions d’espace pour terminer le voyage. Dire que nous sommes partis avec un passeport tout neuf !

LA PATAGONIE

La Patagonie, aussi appelée « Le Grand Sud », s'étend principalement en Argentine, sur 1 140 532 km2, et tout le long de la côte Pacifique du Chili sur 256 093 km2. Ces deux pays, séparés par la cordillère des Andes, abritent des paysages très contrastes de montagnes, de glaciers et de forêts subpolaires. Une terre qui renferme de grands espaces où nous pouvons admirer la beauté de la nature et des paysages incroyablement remarquables. On dit de la Patagonie qu’il est un des territoires les plus marquants du monde. Avec une densité de 3,8 habitants au km2, la Patagonie est une des régions les moins peuplées au monde.

LE PARC NATIONAL DES GLACIERS

Le Parc national des glaciers se situe dans le sud-ouest de la Patagonie argentine, à la frontière chilienne. Il s’étend sur 350 km du nord au sud et sur 50 km de large, il couvre une superficie de près de 600 000 ha. Ce parc englobe plusieurs lacs, dont deux grands lacs d'origine glaciaire ainsi que quelques montagnes mythiques, comme le mont Fitz Roy culminant à 3 405 m d’altitude et le mont Torre culminant à 3 102 m d’altitude. Le nom du parc provient des nombreux glaciers qui aboutissent dans les lacs, entre autre, le glacier Perito Moreno.

EL CALAFATE - 2 JOURS
El Calafate est une petite ville construite au pied de la cordillère des Andes, en Patagonie, dans le Parc naturel des glaciers. Elle est surtout connue de tous en raison du glacier Perito Moreno qui se trouve à 80 km. La ville est très mignonne, nous y retrouvons tout pour plaire aux touristes. Nous y sommes allés seulement pour voir le glacier.



Le glacier Perito Moreno est un glacier de 250 km2 de glace situé dans le parc national des glaciers (Los Glaciares) dans le sud-ouest de la province de Santa Cruz. Ce glacier a une longueur de 30 km, une profondeur totale de glace de 170 m (558 pi), incluant une hauteur moyenne de 74 m (240 pi) au-dessus de la surface de l'eau (le lac Argentino), et sa façade est de 5 km de large.


Le glacier Perito Moreno est l'un des trois glaciers de Patagonie qui est en pleine croissance. La raison est que le climat du Parc national des glaciers est du type océanique et que les vents proviennent du Pacifique, ce qui donne un climat humide et neigeux en altitude. Ce climat expliquerait le fait que le glacier ne soit pas en recul, mais en légère progression. Selon les experts, le fameux barrage de glace du glacier Perito Moreno le démontre d’une façon spectaculaire.


Nous avons passé une journée complète à se promener sur le site du glacier Perito Moreno. Un long sentier très bien aménagé et sécuritaire nous permet de marcher le long du barrage de glace. Composé d’escaliers, le chemin nous mène à plusieurs plates-formes nous permettant d’admirer cet immense bloc de glace.

Il y avait des plates-formes qui se trouvaient en hauteur, ce qui nous offrait une vue générale du glacier et d’autres étaient disposées directement au pied du glacier, ce qui nous permettait de l’observer de près, à quelques mètres de nous.



Nous avions devant nous un immense mur de glace très imposant et spectaculaire. Nous étions émerveillés de le voir d’aussi près.

Nous avons trouvé que l’aménagement était vraiment bien fait et très bien disposé. Véronique boitait encore, à cause de la douleur à son mollet, mais elle a été capable de marcher (tranquillement) toute la journée dans ces sentiers sans trop de problèmes.


En fin d’après-midi, lorsque nous avons terminé d’explorer toutes les plates-formes que contenait le sentier, nous nous sommes assis pour admirer cette pure merveille de la nature. À cause de la chaleur du soleil qui a plombé toute la journée sur le glacier, nous avons pu voir de gros morceaux de glace se détacher de la paroi du mur du glacier pour enfin terminer leur chute dans l’eau du lac. C’était tout simplement incroyable!



Semblable au bruit du dynamitage, le son du craquement qui retentissait était incroyablement spectaculaire. C’était grandiose !



EL CHALTÉN – 3 JOURS
Petit village loin de tout, au cœur même des Andes, El Chaltén est probablement l’un des plus beaux villages de la Patagonie. Il est situé dans la province de Santa Cruz, dans le Parc national des glaciers, à environ 220 km d'El Calafate. Bâti au pied du majestueux mont Fitz Roy et entouré par d’incroyables falaises, le minuscule village est le chouchou des randonneurs. Aussitôt que nous y sommes arrivés, nous sommes tombés en amour avec cet endroit si paisible, nous nous sentions bien.



Comme nous y sommes arrivés en milieu d’après-midi, nous avons marché seulement quelques kilomètres afin d’explorer ce joli endroit. Nous voulions aussi tester le mollet de Véro pour voir comment il réagirait après avoir monté une montagne et savoir si elle pourrait faire une grande randonnée de plusieurs kilomètres le lendemain. Nous sommes allés au sommet d’une petite montagne afin d’avoir une belle vue sur le mont Fitz Roy, sur le mont Torre ainsi que sur le village. Véronique a suivi jusqu’en haut en marchant tranquillement, il n’était pas question pour elle qu’elle ne s’y rende pas.
La vue de là-haut était magnifique ! C’est vraiment ce genre d’endroit que nous adorons.

 


Le lendemain matin, nous sommes allés faire le sentier du mont Fitz Roy. Dès que le réveille-matin a sonné, Véro était prête à attaquer les 26 km que nous devions parcourir dans cette journée. Il était hors de question pour elle de ne pas parcourir ce sentier que nous avions hâte de faire depuis très longtemps.
 
Tôt le matin, sous une chaleur déjà assez intense, nous avons commencé à marcher dans ce fabuleux sentier afin de se rendre au mont Fitz Roy. Le sentier était très beau, il passait dans de belles vallées, nous avions de beaux points de vues sur des glaciers et sur les montagnes.

 


Nous avons marché près d’un lac translucide, laguna Capri, le mont Fitz Roy se trouvait en arrière-plan. C’était tellement beau !



Lorsque nous sommes enfin arrivés au bout du sentier, nous avons pique-niqué au bord du lac laguna de los Tres, au pied du mont Fitz Roy.



Nous en avions plein la vue, le paysage était renversant !

 


Ayant une forme pyramidale, le mont Fitz Roy est un énorme monolithe de granite qui a été sculpté par les vents violents, par la neige et la glace. Cette montagne de 3 441 m d’altitude est composée de roches magmatiques ancrées très profondément dans le sol. Cette formation trouve son origine dans la collision de grandes plaques tectoniques débutée il y a 100 millions d'années. La montagne s’est formée avec l’érosion.

 


Il faisait beau et chaud, le ciel était d’un bleu éclatant et nous avons été émerveillés par les paysages que nous avions vus. Ce fut une journée fantastique ! Et la cerise sur le Sunday, tout c’est bien passé avec le mollet de Véro, après 15 jours de douleur, il a l’air d’être enfin rétabli.



Pour la dernière journée, nous avons fait une randonnée de 22 km. Nous nous sommes rendus jusqu’au lac, laguna Torre, qui se trouve au pied du mont Torre. Encore une fois, ce fut une journée parfaite que nous avons adorée.
 
Le sentier était relativement facile et nous avions toujours une belle vue soit sur une vallée, soit sur un glacier ou encore sur le mont Torre.


Rendus au pied du mont Torre, nous nous sommes étendus au soleil au bord du laguna Torre avant d’entreprendre la descente.


Le mont Torre est en forme d’aiguille et culmine à 3 138 m d’altitude, il est magnifique.


Ce fut une autre très belle journée que nous avons passée en Patagonie. Depuis notre arrivée en Patagonie, nous en avons plein la vue.

1 commentaire:

  1. Wow, les paysages sont encore plus beaux que dans mes rêves, vous m'avez l'air d'apprécier énormément. J'aimerais avoir la chance de faire ces randos un jour !!! Bon voyage et Véro: je pense fort à toi afin que ta jambe ne t'empêche rien.

    Xavier et Marie-Eve

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Parole de Chanson - Eddie Vedder

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